L'association Victim-DMI sert à informer, soutenir et agir !

Qu'est-ce que l'association Victim-DMI ?


  • L’association « Victim-DMI »  est une association totalement indépendante à but non lucratif (Loi 1901).


  • Elle ne touche aucun financement de médecins, de laboratoires ou autre. C'est uniquement grâce aux cotisations et aux dons des adhérents qu'elle mène à bien ses missions.


  • Les cotisations annuelles sont donc la principale ressource. elles permettent de couvrir les frais de fonctionnements et de communication de l'association, (hébergement internet, assurances, supports de communication, affiches, …)


MERCI POUR VOTRE SOUTIEN!




Pourquoi adhérer ?


Voici les bonnes raisons d'adhérer et soutenir Victim-DMI :


  • SOUTENIR notre cause, notre combat pour que les femmes et les hommes de demain ne vivent pas l'errance médicale que les victimes connaissent actuellement.


  • AGIR car nous rejoindre, c'est nous permettre d'agir, de mener nos actions d'information, de sensibilisation, d'être entendu auprès des pouvoirs publics, des instances Européennes, pour se faire entendre il faut être nombreux.


  • INFORMER, ÊTRE INFORME, en adhérant vous recevrez toute l'actualité de l'association, des informations médicales vérifiées, scientifiques publiées et vérifiées.


Tout adhérent sera informé en priorité des actions menées par l'association et peut participer et voter lors des assemblées générales annuelles.





Nos missions


  • Recueillir les témoignages, les attentes et les besoins des usagers du système de santé, et, en particulier, ceux de dispositifs médicalement implantables et de substances et de préparations pharmaceutiques, en vue d’établir des dossiers d’information et de communication.


  • Etablir des propositions en direction des pouvoirs publics sur des questions ayant trait au fonctionnement du système de santé et aux thèmes mentionnés à l’article L. 1411-1 du Code de la santé publique, et faire état de toutes mesures apparaissant conformes aux intérêts matériels et moraux de ses membres et à ceux promus par l’association.


  • Donner des avis et faire des suggestions auprès de tous acteurs intervenant dans le domaine de la santé.


  • Entreprendre des actions d’information, de documentation, de publication, de formation et de soutien aux personnes malades, aux usagers du système de santé et, plus généralement, au grand public.


  • Apporter aide et assistance, en particulier, aux personnes malades et aux usagers de dispositifs médicalement implantables et de substances et de préparations pharmaceutiques.


  • Encourager ou susciter des mobilisations citoyennes sur les questions de santé, en particulier, relativement aux dispositifs médicalement implantables et substances et préparations pharmaceutiques.


  • Organiser des débats publics, promouvoir l’information et la recherche médicales et scientifiques, notamment en matière de dispositifs médicalement implantables et substances et préparations pharmaceutiques.


  • Proposer des représentants des usagers du système de santé auprès des pouvoirs publics, notamment en vue de la désignation des délégués dans les conseils, assemblées et organismes institués par les pouvoirs publics.


  • Assurer la représentation des usagers auprès des organisations européennes et internationales.


  • Agir en justice pour la défense de ses intérêts matériels et moraux propres comme ceux des usagers du système de santé, notamment en menant des actions de groupe prévues aux articles L. 1143-1 et suivants du Code de la santé publique.


Conclure toute convention permettant d’accomplir son objet et ses missions.

Pour réaliser son objet, l’association peut adhérer à d’autres associations ou participer à des unions et regroupements d’associations.



Comment pouvez-vous nous aider ?

  • Vous souhaitez contribuer....

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Les bulletins d'adhésions et, ou, de don, dûment remplis peuvent êtres envoyés par mail à l'adresse suivante : tresorier@victim-dmi.com.
Envoi de l'IBAN de l'association sur simple demande.
Pour nous aider, vous pouvez également partager nos post, nos actualités et notre site internet !




Notre actualité récente


19 oct., 2022
Retrouvez le reportage vidéo de France 3 - Bretagne a propos des implants Essure suite au dossier diffusé par Splann !
19 oct., 2022
Un article par "Le Progrès"
par Sabine Hahner 19 oct., 2022
Voici le texte visant les implants Essures soumis au Ministère de la Santé et de la prévention Mme Emmanuelle Ménard attire l'attention de M. le ministre de la santé et de la prévention sur l'implant de stérilisation définitif ESSURE. Sur 240 000 femmes implantées en France depuis 2002, 1 087 ont déclaré avoir contracté des effets secondaires dus à la pose et au retrait de ce dispositif. Les symptômes les plus fréquents liés aux dispositifs ESSURE sont les douleurs musculo-squelettiques (75 %), l'asthénie (63 %) et les douleurs pelviennes (55 %) (étude réalisée sur 98 patientes). La suspension, en août 2017, du certificat de marquage CE de l'implant ainsi que l'arrêt de sa commercialisation en septembre 2017 témoignent du véritable danger que représente cette contraception. Malgré cette reconnaissance, les victimes regrettent qu'il n'existe pas de suivi médical efficace adapté à leur situation, déclarant se sentir délaissées, notamment parce que certaines n'ont toujours pas eu de rémission complète. En outre, il est surprenant que les dernières porteuses de cet implant n'aient pas été informées des risques encourus et de la possibilité d'être explantées. Le 19 avril 2017, un comité scientifique mis en place par l'Agence nationale de sécurité du médicament rendait un rapport où il n'excluait pas un lien causal entre les métaux contenus dans l'implant ESSURE et les effets secondaires des victimes. Par conséquent, il avait recommandé la réalisation d'une analyse des explants et des tissus associés pour obtenir des réponses à leurs recherches. Cette étude n'a jamais été menée alors même que la cause des effets indésirables de l'implant ESSURE est attendue par toutes les femmes qui en ont été victimes. Ces femmes se sentent rejetées et isolées, l'absence de réponses à leurs interrogations a causé une déconsidération aussi bien auprès de leur entourage que du corps médical. Malgré la mise en place d'un comité de suivi par le ministre des solidarités et de la santé en 2020 qui a abouti à une revue des méthodes d'explantation, le nombre de victimes de cet implant ne cesse d'augmenter. Or seules 22 000 femmes auraient procédé à une explantation, ce qui signifie qu'il reste encore de trop nombreuses femmes porteuses de l'implant. Les protocoles actuels ne sont plus suffisants. Il devient alors nécessaire et important de créer une campagne de sensibilisation, d'information et de suivi des femmes bénéficiant ou ayant bénéficié de ce dispositif. Elle lui demande donc si des dispositions de prévention et d'action ont été envisagées afin d'avertir les 198 000 femmes implantées en France sur les dangers encourus, si un parcours de soin ainsi qu'une prise en charge adaptée et spécifique va être proposé à ces femmes et si des études sur l'implant ESSURE et les effets secondaires qu'il produit vont être à nouveau menées.
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